Festival Ciné-Palestine (FCP)- | FOCUS “PALESTINE IN THE EYE”- Vendredi 31 mai → Cinéma Le Polygone Étoilé - Marseille 18H

mercredi 29 mai 2024

vendredi 31 mai
→ Cinéma Le Polygone Étoilé - Marseille
18H | FOCUS “PALESTINE IN THE EYE”

https://www.festivalpalestine.paris/fr/programmation

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En partenariat avec la Cinémathèque de Toulouse, le ministère de la Culture palestinien, le Palestinian Cultural Fund, la Fondation Art Jameel et le Consulat Général de France à Jérusalem.

Conférence d’Asmaa Al-Atawna (romancière, journaliste indépendante et documentaliste audiovisuelle pour la Cinémathèque de Toulouse)

Cette séance, pensée par Asmaa Al-Atawna, prendra la forme d’une conférence au croisement de ses parcours personnel et professionnel, avec pour fil rouge, sa rencontre avec les archives palestiniennes. Elle sera illustrée par deux courts métrages issus du fond accueilli par la Cinémathèque de Toulouse qui a entrepris, en 2023, un travail de conservation et de numérisation des films militants palestiniens.

👁 Exodus 1967 d’Ali Siam
Jordanie, Palestine | 1968 | 13 min | Documentaire
L’exode des réfugié·e·s palestinien·ne·s en Jordanie après la guerre des Six Jours (juin 1967).
👁 El Fatah 1968 de Thewalt
Palestine, Allemagne | 1968 | 11 min | Documentaire
Des images de camps d’entraînement d’Al-Assifa, la branche armée du mouvement Fatah, en Jordanie.

Séance suivie d’un repas à prix libre proposé par l’équipe du festival

21H | FOCUS “PALESTINE IN THE EYE”

En présence d’Anaïs Farine (chercheuse et programmatrice, membre du FCP) et Rami Nihawi (co-auteur et monteur de R21 aka Restoring Solidarity)
En 2023, lors de sa clôture parisienne, le FCP présentait R21 aka Restoring Solidarity, un film de remontage de Mohanad Yaqubi composé à partir d’une collection de vingt films 16 mm conservée à Tokyo. Cette séance entremêle la projection de cinq courts métrages de cette collection remis en circulation grâce au travail de Subversive Film et du Palestine Film Institute à des moments de dialogue entre Anaïs Farine et Rami Nihawi au sujet de ces films, de leurs histoires et de leur résonance dans le présent des luttes.
👁 Dispersés par le vent de Jacques Madvo
Liban | 1971 | 18 min | Documentaire
Le montage d’une série de dessins peints par des enfants palestinien•ne•s donne vie à ces images fixes et offre un aperçu de leur vie quotidienne, de leurs souvenirs et de leur imagination après la guerre des Six Jours en 1967.
👁 Scènes d’occupation à Gaza
de Mustafa Abu Ali

Liban | 1973 | 13 min | Documentaire
Mustafa Abu Ali remonte un reportage français sur Gaza, ajoutant images et commentaires.
👁 The Urgent Call of Palestine d’Ismail Shammout
Palestine | 1973 | 6 min | Expérimental
Écrit et chanté par Zeinab Shaath, s’accompagnant elle-même à la guitare, The Urgent Call of Palestine résonne comme un cri sur la condition de vie des palestinien·ne·s.
👁 Cowboy de Sami Al-Salamoni
Égypte | 1973 | 15 min | Expérimental
Cowboy utilise le cinéma américain pour exposer la structure coloniale du pays et sa capacité à romancer des actes génocidaires. Sami Al-Salamoni apporte une critique théorique d’Hollywood à travers un important travail de montage de scènes et de plans issus de films grand public.
👁 Palestine and Japan
de T. Maki

Japon | 1979 | 20 min | Documentaire
Réalisé à la suite de l’ouverture du bureau de l’OLP à Tokyo, le film met en avant les liens politiques et les réseaux de solidarités entre le Japon et la Palestine. Des considérations sur les perspectives d’enfants dans les deux pays conduisent à des déclarations sur les impérialismes, la compréhension mutuelle et la volonté de renforcer les liens.